Le scénario MYZ a bien eu lieu ce 15/11/2024.
Plutôt un point d'étape pour les joueurs au sein de l'arche, aucune décision n'ayant remporté l’adhésion du groupe pour faire face aux dangers du dehors.
Je vous avais promis le résumé rapide du scénario Cyberpunk Red précédent.
Le voici dans un format extrêmement compact:
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Les néons de Salinas disparaissent peu à peu des vitres, avalés par une nuit sans promesse. Dans la large cabine du camion, Sod, Rexan, Lion et Rio restent silencieux. Les hurlements des sirènes, les éclats de verre et les cris des cobayes enlevés par les NeoSkulls résonnent encore dans leurs têtes. Ils laissent derrière eux une ville agitée par un secret pour lequel NexTech Dynamics ne fera aucune concession : des expérimentations chimiques menées sur des humains volés à leur vie.
Lion et Rio portent les stigmates de l’infiltration. Les robots du charcudoc, arachnides cybernétiques animés par une efficacité froide, les ont rafistolés avec précision, recousant muscles et peau avant de passer aux clients suivants. Leur souffrance, perdue dans les anesthésiants, n’était qu’une ligne de plus sur le tableau de suivi d’une clinique sans principe. Ils vivent, mais chaque mouvement leur rappelle leur fragilité, le poids écrasant d’un univers qui ne pardonne aucune erreur.
Sod, lui, ne peut effacer les visages des brutes de NexTech Dynamics qui l’ont trouvé en garde à vue. Leurs sourires étaient des gouffres effrayants quand un inspecteur corrompu les a laissé entrer dans sa cellule d’isolement. Ils n’ont pas pris la peine de poser beaucoup de questions : coups, menaces. Une danse de violence méthodique pour le briser et le marquer. Le mouchard, implanté directement dans son flux sanguin, était leur assurance. Mais Sod a toujours été plus malin, trop pour eux. Il s’est débarrassé du mouchard et du drone qui le suivait. Maintenant, il sait qu’ils ne le lâcheront plus, lui, l’ancienne vedette du Motor Arena.
Bison, leur chef, n’a pas fait dans le détail. Les affaires d’abord, la survie ensuite. Le plan qu’il a tiré dans la clinique et son pragmatisme leur donne une chance sur deux : récupérer un camion chargé de Chootoo de contrebande, traverser la ville, et livrer le tout dans la réserve indienne, un havre hors réseau où personne ne pose de questions. Là-bas, dans la réserve indienne, règne une zone grise, hors du temps et des systèmes de surveillance, où même les corporations hésitent à engager leurs moyens : un fragment de liberté dans un monde où tout est sous contrôle.
Rexan est au volant. Ses nerfs sont câblés directement au camion via une interface neurale qui est fixé à l’arrière de son crâne. Les circuits scintillent légèrement sous les cheveux de sa nuque, tandis que ses yeux révulsés filtrent les données qui s’incrustent dans ses pensées. Température du moteur, vitesse, consommation énergétique, trajectoire optimale, balayage des caméras extérieures. Il est le camion, et le camion c’est lui. À chaque tournant, chaque accélération, son esprit danse sur le fil d’un réseau dématérialisé. Il sent la machine vibrer sous ses pieds comme un animal massif, puissant…
Le désert les avale doucement, ses dunes froides réfléchissant par moments la lumière pâle des étoiles. Le camion crache des vapeurs nocives dans l’air sec. Ils roulent vers la réserve indienne. Derrière eux, Salinas n’est qu’une mémoire brûlante, un terrain miné par les gangs, la corruption et les mercenaires aux ordres des corporations.
Lion, assis à l’arrière, regarde l’horizon sans fin, le visage contracté par la douleur. "Et si on ne pouvait jamais revenir ?" murmure-t-il, mais personne ne répond.
Dans le silence tendu, les seules voix qui leurs parlent sont celles des souvenirs qu’ils aimeraient oublier. La sortie de l’autoroute menant à la réserve indienne se rapproche. Rexan, toujours connecté, annonce calmement : "Encore 58 kilomètres." Mais au fond de lui, il sent un frisson passer dans ses circuits. Une anomalie ? Peut-être une ultime tentative pour les repérer ? Une menace invisible qui n’aura aucune suite, quand il choisit de couper le système d’identification du camion et l’ensemble de ses com externes.
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Vous hésitez encore à nous rejoindre pour une ou plusieurs parties?
Ne perdez plus votre temps et embarquez dans cet univers en prenant contact sur ce fil.
Bonnes parties à vous d'ici là.
Plutôt un point d'étape pour les joueurs au sein de l'arche, aucune décision n'ayant remporté l’adhésion du groupe pour faire face aux dangers du dehors.
Je vous avais promis le résumé rapide du scénario Cyberpunk Red précédent.
Le voici dans un format extrêmement compact:
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Les néons de Salinas disparaissent peu à peu des vitres, avalés par une nuit sans promesse. Dans la large cabine du camion, Sod, Rexan, Lion et Rio restent silencieux. Les hurlements des sirènes, les éclats de verre et les cris des cobayes enlevés par les NeoSkulls résonnent encore dans leurs têtes. Ils laissent derrière eux une ville agitée par un secret pour lequel NexTech Dynamics ne fera aucune concession : des expérimentations chimiques menées sur des humains volés à leur vie.
Lion et Rio portent les stigmates de l’infiltration. Les robots du charcudoc, arachnides cybernétiques animés par une efficacité froide, les ont rafistolés avec précision, recousant muscles et peau avant de passer aux clients suivants. Leur souffrance, perdue dans les anesthésiants, n’était qu’une ligne de plus sur le tableau de suivi d’une clinique sans principe. Ils vivent, mais chaque mouvement leur rappelle leur fragilité, le poids écrasant d’un univers qui ne pardonne aucune erreur.
Sod, lui, ne peut effacer les visages des brutes de NexTech Dynamics qui l’ont trouvé en garde à vue. Leurs sourires étaient des gouffres effrayants quand un inspecteur corrompu les a laissé entrer dans sa cellule d’isolement. Ils n’ont pas pris la peine de poser beaucoup de questions : coups, menaces. Une danse de violence méthodique pour le briser et le marquer. Le mouchard, implanté directement dans son flux sanguin, était leur assurance. Mais Sod a toujours été plus malin, trop pour eux. Il s’est débarrassé du mouchard et du drone qui le suivait. Maintenant, il sait qu’ils ne le lâcheront plus, lui, l’ancienne vedette du Motor Arena.
Bison, leur chef, n’a pas fait dans le détail. Les affaires d’abord, la survie ensuite. Le plan qu’il a tiré dans la clinique et son pragmatisme leur donne une chance sur deux : récupérer un camion chargé de Chootoo de contrebande, traverser la ville, et livrer le tout dans la réserve indienne, un havre hors réseau où personne ne pose de questions. Là-bas, dans la réserve indienne, règne une zone grise, hors du temps et des systèmes de surveillance, où même les corporations hésitent à engager leurs moyens : un fragment de liberté dans un monde où tout est sous contrôle.
Rexan est au volant. Ses nerfs sont câblés directement au camion via une interface neurale qui est fixé à l’arrière de son crâne. Les circuits scintillent légèrement sous les cheveux de sa nuque, tandis que ses yeux révulsés filtrent les données qui s’incrustent dans ses pensées. Température du moteur, vitesse, consommation énergétique, trajectoire optimale, balayage des caméras extérieures. Il est le camion, et le camion c’est lui. À chaque tournant, chaque accélération, son esprit danse sur le fil d’un réseau dématérialisé. Il sent la machine vibrer sous ses pieds comme un animal massif, puissant…
Le désert les avale doucement, ses dunes froides réfléchissant par moments la lumière pâle des étoiles. Le camion crache des vapeurs nocives dans l’air sec. Ils roulent vers la réserve indienne. Derrière eux, Salinas n’est qu’une mémoire brûlante, un terrain miné par les gangs, la corruption et les mercenaires aux ordres des corporations.
Lion, assis à l’arrière, regarde l’horizon sans fin, le visage contracté par la douleur. "Et si on ne pouvait jamais revenir ?" murmure-t-il, mais personne ne répond.
Dans le silence tendu, les seules voix qui leurs parlent sont celles des souvenirs qu’ils aimeraient oublier. La sortie de l’autoroute menant à la réserve indienne se rapproche. Rexan, toujours connecté, annonce calmement : "Encore 58 kilomètres." Mais au fond de lui, il sent un frisson passer dans ses circuits. Une anomalie ? Peut-être une ultime tentative pour les repérer ? Une menace invisible qui n’aura aucune suite, quand il choisit de couper le système d’identification du camion et l’ensemble de ses com externes.
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